Cela fait un moment que je n’ai pas rédigé quelque chose pour mon journal ! J’en suis désolé (pour ceux que ça peine de ne pas lire de mes nouvelles ! Pas grand monde ! ;-) Je suis « pris » dans mes cours, dans mes obligations littéraires…
Si vous voulez savoir, on a été obligé de piquer mon chat. C’est triste, mais la vie continue. Pauvre bête, elle me manquera beaucoup.
Donc je disais que j’étais coincé avec la Fac. En effet, j’ai cinq exposés (2 commentaires de texte + 3 exposés, en réalité), et les dates sont relativement proches pour chacun d’eux. J’en ai même deux le même jour ! Enfin passons… Il faut que je bosse, ce qui ne me laisse pas tellement de temps libre. Heureusement la semaine de vacances arrivera à point nommé pour souffler.
Je disais également que j’étais coincé dans mes obligations littéraires. En ce moment je suis en pleine inspiration poétique, je m’étonne moi-même que ces poèmes viennent de moi. Ceux-là je les garde pour moi, ils serviront plus tard dans mon livre. Ce serait bête de ne pas continuer sur ma lancée… Si vous voulez, vous pouvez lire celui-là, écrit pendant une heure tardive et cafardeuse.
Electron libre
Y a-t-il esprit plus tourmenté
Ou en amour ou amitié
Honnête envers ses lignes de conduite de vie,
Adroit du Verbe et de l'Ecriture,
Nonchalamment ses plaisanteries sont dures,
Non moins drôles tous les sens étant compris...
N’hésitez pas à commenter, ce n’est pas parce que je n’ai pas le temps d’écrire que je n’ai pas le temps de vous lire. Et puis ce ne sera plus mon journal personnel car un collègue d’histoire, quetzacoatl pour ne pas le nommer, viendra agrémenter ce joueb de quelques-unes de ses pensées de temps à autre.
Pfiou… Je suis également en plein marasme spirituel, tout me passe par-dessus la tête. Je reste indifférent à mon environnement, un peu absent, je sors des blagues bas de gamme, suis fatigué, suis maussade, suis malade… Je laisse certaines choses de côté pour me concentrer sur d’autres. Par exemple, ma vie sentimentale je la mets entre parenthèses (parce que marre), ou encore la télé (pas que ça à foutre, en plus comme ma vie sentimentale elle ne sert pas à grand-chose, alors autant la ranger dans un placard et la sortir plus tard).
Voilà. Vive la vie en gris.
à 21:58